Des jardins nourriciers
La crise sanitaire resserre le monde à l’échelle locale, dont la base est le foyer.
Des nombreuses personnes se mettent à pratiquer ce qu’elles aspirent voir à une plus grande échelle.
Quand on parle de jardin, un petit potager peut contribuer à nourrir la famille et à sensibiliser les enfants aux cycles des saisons. Nourrir son potager avec des déchets organiques – composte maison – ajoute une touche de circularité à l’écosystème.
Des espaces utiles
Les extérieurs sont devenus une priorité en cette période de multiples restrictions.
Nous avons envie d’espaces de contemplation et de détente mais aussi d’espaces actifs, comme une zone liée à la préparation de repas ou une cuisine d’été, un espace pour manger à plusieurs, un espace de jeux et pourquoi pas un espace où s’installer pour travailler…
La pandémie a réinventé nos modes de vie, nous avons parfois la possibilité d’aménager un coin supplémentaire pour travailler aux beaux jours !
Modularité et sur-mesure
Les extérieurs viennent augmenter la surface que nous disposons pour vivre et pratiquer nos activités quotidiennes.
Étant donné que nos jardins ne sont pas extensibles, il est indispensable de les repenser pour optimiser l’espace.
Un principe interessant à travailler sera celui de la multiplicité. Cela consiste à créer des différentes zones, à les dissocier et à les différencier pour que chacun retrouve son compte, son plaisir et son autonomie.